Les falaises

Nathaniel avait décidé de s'isoler un peu. Il avait donc pris la route remontant vers le nord d'Hautebrande, avant de se diriger vers la mer. Après quelques minutes de marches, il atteignit les falaises qui surplombaient le golfe situé entre la région d'Hautebrande et celle des Paluns. Il avait besoin de réfléchir. Il s'assit sur une souche d'arbre et plongea dans une profonde méditation.

"Il ne fait aucun doute que mon plan a marché et que ces humains me prennent réellement pour un ancien voleur de leur race repenti. Mine de rien, je me demande encore comment j'ai pu inventer un stratagème aussi alambiqué. Il y a des fois je me demande ce que j'ai dans la tête... Et puis avoir été obligé de transporter ces deux pauvres hommes jusque là bas... Il va falloir que je me montre plus réfléchi à l'avenir. Nul doute que les humanoïdes de cette... "guilde" (pourquoi appelle-t-il ça comme ça ?) sont intelligents et me permettront d'en savoir plus sur ce que prépare leur soi disant Alliance... Korialstrasz avait raison, Azeroth connaît réllement des conflits assez importants. J'ai l'impression que le fléau se montre assez menaçant dans cette région. C'est cette menace qu'ils devraient combattre, au lieu de s'entretuer entre humanoides... Mais ils devront faire face à cette menace seuls... Alexstrasza a bien plus important à faire... Malygos notamment... Il faut que j'en apprenne plus sur eux. Mon opinion est peut être faussée. Il faut que je remplisse ma mission. Je dois savoir ce qui se trame à Grim Batol. Je dois savoir si Azeroth survivra."

Sur ces mots, Nathaniel sembla se réveiller. Il avait prononcé ces mots d'une voix douce et calme, mais semblait être possédé. Comme s'il rêvait.

Je dois retourner à Austrivage. Qui sait, je pourrai peut-être parler de tout ça avec les plus sages de cette faction.

« Hyjal… La troisième guerre… Dans les forêts d’Ashevales un nain et un elfe de la nuit discutent tout deux autour de leur feu de camp…
-Tu sais Orick j’étais comme toi avant… j’étais un guerrier cruel et sans pitié avant de retrouver ma fille…
-Que veux tu mon gars si je fais la guerre c’est pour écrasé l’ennemi. Je ne suis pas la pour être sentimental envers une bande de mort-vivant décérébrés.
Une brise légère brise soufflait se soir la qui venait apporter un peu de fraicheur aux soldats de la Horde et de l’Alliance. Le nain et l’elfe marchaient un peu tout en poursuivant leur conversation.
-Tu vois Orick, c’est la que réside ton problème. Tu fais la guerre pour tuer, mais… à tu songer a tous ceux qui perdent leurs vie chaque jours ? Tous ceux que tu pourrais sauver ?
A ses mots le nain mit sa main dans sa barbe.
-Hum tu n’a pas tord… certes je pourrai sauver des vies mais je pourrais également perdre la mienne plus facilement… Qui plus est les autres penseront quoi de moi ? Ils me regarderont en riant tout en pensant le besogneux…le paladin à la lame si lente qui fait couler si peu de sang.
Märshka s’arrêta à ses mots et regarda Orick fixement dans les yeux.
-Tout au long de ma longue vie, j’ai toujours souris aimablement à mes frères guerriers lorsqu’ils se gargarisaient du nombre d’épées qu’ils avaient brisés sur le corps de leurs ennemis, du nombre de fois où ils avaient du porter leur armes aux maîtres forgerons afin de les faire redresser, retremper ou tout simplement nettoyer du sang et des fluides qu’avaient laissées leurs innombrables victimes. Car, vois tu mon jeune ami, j’ai toujours considéré que plus important que le nombre d’ennemis abattus, était le nombre de sœurs et frères d’armes qui tu as sauvés. La voie du protecteur n’est pas celle de la mort, mais celle de la vie et du don de soi. Si les dieux t’offrent une longue existence, tu pourras sans doute, comme je le fais aujourd’hui, regarder tes multiples cicatrices et y associer, non pas un ennemi tombé, mais un compagnon toujours vivants. Telle est la voie du protecteur. Mon jeune ami, tu serviras la multitude, là ou d’autres ne servent que l’individu, tu seras le rempart de tous là où d’autres ne protègent que leur vie.
A ses mots les yeux d’Orick s’écarquillèrent.
- Je n’avait jamais considéré les choses sous cet angle… mais je ne suis pas encore sur de vouloir passer ma vie devant les autres et ne servir que de chair a canon pour sauver les autres… je risque déjà ma vie tout les jours depuis le début de la guerre, la lenteur n’est pas un avantage.
-Se que je t’ai dit ne t’a pas entièrement convaincu ? En se cas je vais te dire se que mon maitre ma dit lors de mon apprentissage…
Märshka s’éclaircit la gorge avant de commencer sa tirade.
-lorsque sonnera pour toi l’heure de la première bataille et que tu feras face aux créatures les plus dangereuses et les plus puissantes de notre vaste univers, tu comprendras alors combien les sacrifices consentis tout au long de ta formation sont justifiés. Car tous compterons sur toi, tous seront derrière toi, mais toi mon fils, tu seras seul. Dans ce maelstrom de fureur, de cris, et de souffrances, alors que tes compagnons d’armes danseront à tes côtés une danse appelant la mort, toi, tu danseras une danse guerrière célébrant la vie…la tienne et celle de ceux qui t’accompagnes dans la bataille. Cent fois ton bras armé se lèvera pour plonger ta lame dans les chairs de l’ennemi, cent fois ton bouclier se lèvera pour parer un coup fatal, mais la fatigue te restera étrangère car ton la voie du Protecteur t’enseigne comme valeur première l’endurance et la pugnacité. Les coups pleuvront sur toi, certains si puissants qu’ils tueraient instantanément tout autre que toi, mais tu resteras sur tes pieds, au milieu de ton univers d’acier, n’ayant d’autres but que de canaliser la rage de l’adversaire sur toi, pour que d’autres vivent. Viendra surement, en de nombreuses occasions, le moment où tous douterons, ou les forces déclinant, le spectre de la défaite assombrira le théâtre de la bataille. Mais tu ne failliras pas, tu ne douteras pas, car la voie du Protecteur t’enseigne aussi le courage, la persévérance et le don de soi. Tu resteras donc vigilant, concentré, puisant au fonds de toi, ses ultimes ressources qui permettent à chacun de repousser l’inévitable, d’inverser le cours d’une bataille que tous considèrent déjà comme perdus. Tu te sublimeras alors mon jeune ami, et l’essence même du grand Protecteur coulera en toi…tous reprendront alors courage, il te suivrons, ils t’aimeront, ils comprendront alors ce que tu es réellement : leur salut, leur bouclier. Puis la bataille gagnera son paroxysme, ton corps martyrisé, brisé, ouvert en 1000 plaies réclamera grâce. Et la souffrance, vieille et fidèle compagne, sera omniprésente, ton univers sera souffrance, mais là encore, tu ne failliras pas. Tu puiseras en elle la rage qui te permettra de continuer le combat, acceptant ici avec abnégation un coup destiné à un autre, parant de là un coup de taille qui aurait tranché en deux le frère d'armes à tes côtés. Souriant de chaque nouvelle estocade, de chaque faille trouvée dans ton armure par ton formidable adversaire, car chaque blessure que tu reçois porte en elle le salut d’un de tes frères d’armes. Souviens toi mon fils. Lorsque vous aurez vaincus, lorsque qu’après ce qui t’a paru être des siècles de combats, l’adversaire sera vaincu, à terre, immobile dans le froid appel de la mort. La fureur de la bataille s’éteindra dans les corps et les âmes de tes frères d’armes, tu feras le tour des blessés et des agonisants, et tu honoreras ton adversaire. Alors, ils recommenceront à se vanter, comparant de ci de là, leurs prouesses martiales, se disputant la paternité du coup fatal. Et toi, après quelques accolades, quelques sourires et paroles de félicitations, tu t’en retourneras panser tes blessures et continuer ta vie d’aventuriers. Et quand tu les recroisera, ils n’auront pas oubliés, leur regard auront changés.
Le hululement d’une chouette interrompit la discussion. Märshka observa Orick, celui-ci sembler se poser plein de questions…
-Tu ma donné matière à réfléchir. Il fait nuits à présent, que dirait tu de rentré au campement et de profité d’une bonne nuit de sommeil ?
Märshka esquissa un sourire
-Tu à raison, rentrons... »
Voila se a quoi penser Orick au bord des falaises regardait les vagues s'ecrasé contres les rochers.

Il faisait nuit, la brume c’était déjà étendue le long des cotes. Orick restait seul assis au bord de la falaise… seul, avec ses pensées. Cela faisait déjà un bon moi que Märshka était mort. Il avait déjà exploré tout Azshara mais il n’avait trouvé aucuns signes de vie de Shäêlis. C’est pour ça qu’il avait préférer revenir a Austrivage pour médité un peu et surtout demander conseil a Henry Maleb afin d’en savoir un peu plus sur Shäêlis. « On ne sait jamais… peut-être qu’un détail primordial ma échapper… »Se disait’ il. Tout en caressant son imposante Barbe brune, il continuait à méditer ainsi jusque au petit matin. Il rentra au village dans la matinée. En passant dans le cimetière il rencontrât Henry Maleb qui était la devant la tombe de Märshka entrain d’y déposer des fleurs.
-Bonjour monsieur Maleb. Belle matinée ne trouvez vous pas ?
Henry regarda Orick tout en lui serrant la main
-C’est vrai. Nous avons eu mauvais temps toute la semaine avant que tu n’arrive. Un peu de soleil cela ne peu faire que du bien.
-Ah j’avoue, je n’ai pas était épargner par la pluie a mon retour moi aussi ! Mon armure commence même à rouiller à certains endroits.
L’homme observait son Armure
-Mais dit moi, en parlent d’armure. Tu n’as pas était a Azshara avec celle-ci ?
-Si. Pourquoi ?
Le nain regarda sont armure d’un air dubitatif
-Tu es fou ou quoi ?! Azshara est une région dangereuse ! Il te faut une véritable armure pas une simple cote de maille.
-Je fais avec les moyens du bord que veux-tu. J’ai dans ma banque a Forgefer l’armure de mon père mort peu après la troisième guerre, j’irai la chercher après avoir finit mon travail ici.
-Ouf fort bien. Je suppose que tu n’es pas venu me voir juste pour me dire bonjour ?
-Tu suppose bien. En effet j’aurai besoin de renseignement sur Shäêlis. J’espère, en la connaissant, la comprendre le mieux possible affin d’avoir le déclic, la révélation qui me dirait ou chercher.
Henry réfléchit quelques instants avant de donner une réponse à Orick
-Ma foi je pense que tu peu regarder dans les archives de la bibliothèque mais… je ne sais pas si tu va y trouver grand-chose.
-J’aurai aussi besoin d’écrit ou de notes lui ayant appartenu. N’as t’elle pas un journal ou quelque chose du genre ?
-Non, pas à ma connaissance. Mais tu sais je ne la connaissais que peu.
Le nain répondit à Henry d’un acquiescement.
- Merci à toi de me laisser consulter les archives, je ne doute pas que cela me soit utile.
Saluant l’homme une dernière foi Orick se rendit donc aux archives. Il prit tout les documents concernant Shäêlis qu’il entassait sur une table. Puis, a la lumière d’une lampe a huile il commença les recherches, il ne ressortait que pour manger et se dégourdir un peu les jambes. Il lut et relut les mêmes textes trois jours durant. C’est alors qu’une nuit, dans son lit Orick eu une révélation pendant l’un de ses reves…


A suivre

Dans se rêve il avait l’impression d’être dans la peau de Shäêlis
« Il faisait sombre, c’est une grotte, dehors on peu entendre le grondement d’une chute d’eau. A ma droite se trouve un jeune Tauren qui semble apeuré… L’antre est remplis de Nagas, Justement, en voila un qui arrive avec une assiette remplit… Non je dois résister… la drogue qu’ils on mit a l’intérieur anille tous mes pouvoirs. C’est ma seule chance de sortir de la… vivante… Si au moins je savais ou je suis, ou comment prévenir les mes allier…
-Mange elfe ! Ne me force pas à utiliser la manière forte !... »
C’est tout agité qu’Orick se réveillât en sueur au beau milieu de la nuit. Il avait la conviction au plus profond de lui-même qu’il devait suivre se rêve, c’était la seule piste qui s’offrait a lui.
Tôt dans la matinée Orick alla chercher les cartes d’Azeroth qui se trouvait dans les archives. Jusqu’à midi il rechercha les grottes qui se situer a proximité d’une chute d’eau. Une fois cette recherche effectuer il regarda dans les différant rapport militaires ou les nagas avait était repérés. En quelques heures il trouva finalement la grotte en question. Il s’agissait de la grotte aux champignons qui se trouver sous le chutes bondissantes de Sombrerivage. Une foi ceux-ci fait Orick parti boucler ses bagages en vitesse dit un bref aurevoir a Henry et prix le premier gryphon en direction de Forgefer. Il arriva tard dans la nuit, après avoir payé le maître des gryphons il s’en alla donc trouver un coin ou dormir vu que la banque n’aller pas ouvrir ses portes avant le petit matin. Il dormit peu et inconfortablement sur la pierre dure dans la quelle était creuser Forgefer. Le lendemain, après un rapide toilette notre paladin faisait route vers la banque. Une fois la bas il s’adressa à une gnome au cheveux rose.
-Bonjour monsieur, que puis-je faire pour vous ?
-Je désire retirer un objet dans mon coffre sil vous plais.
-Hum, et avez-vous votre clé ?
Le nain fouilla dans sa barbe et en sortit une vielle clé en bronze attacher à celle-ci
- La voila, c’est le coffre 290B.
- 290B très bien suivez-moi.
Après quelques minutes de marches dans les sous-sols de la banque Orick arriva enfin devant le coffre.
-La clé, je vous prie.
-Tenez la voila dit Orick en la détachant de sa barbe.
La gnome mit la clé dans la serrure, au déverrouillage de celle-ci la porte massive en acier émit un drôle de bruit.
-Vous pouvez y aller monsieur, une fois finit pensez bien à refermez le coffre à clé, nous ne somme pas garant en cas de vols.
Orick entra dans la chambre forte, au mur se trouver quelques troches qui éclairé la pièce d’une lueur jaunâtre et chaleureuse.

Je lirais plus tard ... j'ai plein de choses a faire pour le moment, mais je dois dire que tu m'impresionne Marsh ...

=)

Orick avança jusqu’à un grand coffre de pierre polie noire au milieu de la pièce, c’était le seul objet que contenait la chambre forte. Dépoussiérant le couvercle il lui les runes naines qui en orné la surface. Après quelques minutes d’hésitation il ouvrit finalement le coffre pour en sortir une lourde armure de plaque jaune que portait son père durant la 2em guerre. Il observait avec attention chaque éraflure qui courait le long des pièces de métal. Il enfilait l’armure comme son père l’avait fait des années plus tôt, mais il ne l’enfilait pas pour les même raisons. Après avoir verrouillé son coffre fort, Orick s’en allait donc vers Sombrerivage, cella fut un voyages de deux semaines, il avait demandé a se que l’on amène son cheval a Sombrerivage le temps que lui-même récupère sont armure et aille la bas. Une fois a Sombrerivage, dans la forêt des elfes de la nuit il se dirigeait a pas lent vers l’écurie, le voyage l’avait engourdit, sa solide ossature craquer a chaque pas et se mêlé au cliquetis de sont armures, le sel s’était infiltré dans sa barbe faisant des nœuds semblables a certaine coiffures trolles. Il n’était que très rarement venu en territoire elfe, la forêt, ce n’était pas pour lui, il préférait mille foi les montagnes rocheuse ou l’on trouver les neiges qui vous rafraichissent après quelques pintes de trop. Il arrivait enfin devant une elfe de la nuit de « grande » taille et qui plus est fort jolie, elle avait des marques tribales au visage, de long cheveux bleu qui tombait jusques au hanches, un visage fin, c’était sans nul doute une elfe d’une extrême jeunesse, ses yeux profond était remplit de joie, elle n’avait surement pas connut la guerre non plus. Voyant le nain approcher elle le saluât.
-Bonsoir maître nain, je suis Væna, la gardienne des écuries d’Auberdine. Je suppose que c’est vôtre cheval que l’on ma confier il y a deux jours de cela ?
Orick, toujours fidèle à lui même passait sa main dans sa barbe pour se gratter le menton tout en reluquant la maîtresse des écuries.
-Ma foi, vous supposé bien dame Væna, je suis Orick, humble paladin au service de l’alliance. Pouvez-vous m’apporter mon brave canasson ?
-Bien entendu monseigneur, pendant vôtre absence j’ai pris soin de lui faire vérifier ses fers, je l’ai également brossé et j’ai fait nettoyer et redresser sont armure.
-Merci d’avoir bien pris soin de lui, combien je vous dois ?
-Au je vous en prie, ce n’est rien, gardez vôtre bourse pleine, je ne demande jamais d’argent pour quelques broutilles comme celle-ci, je souhaite juste que vous retrouviez Shäêlis, sa disparition et la mort de sont père nous a grandement affecter…
Sur ce, l’elfe sen allait chercher la monture d’Orick. Quelques instant plus tard, nôtre paladin de dirigeait vers la sortie de la ville tout en flattant l’encolure de sa monture. A mesure qu’il s’approchait de la sortie du village le nombre d’elfe et d’autres aventuriers de l’Alliance décroissait. Au bout de plusieurs heures de galop dans le nord de la forêt le rugissement provoquer par les chutes bondissantes qui caché l’enté de la Caverne aux champignons, la ou Orick avait eu une vision de Shäêlis. À ce moment la Orick ralenti et commençât à s’enfoncer dans la forêt vers les montagnes. Au bout d’une heure il arrivait au pied de la chute d’eau, un petit chemin passait derrière la chute, c’était certainement la qu’était l’enté de la caverne, Orick descendit de sa monture puis s’approcha d’un pas lent vers la caverne, les Nagas rodait à l’intérieur tout en Marchant il dégainait sa masse et son écu paré a n’importe quelle éventualité comme lui avait appris Märshka durant la 3em guerre le lui avait enseigné. Il s’approchait encore un peu plus du rideau d’eau, le bruit devenait de plus en plus agaçant le stress était a son comble, peut-être, peut-être Shäêlis serrait libre dans l’heure qui suivait ou peut-être trouverait-il la mort, ou alors il serrait retenu en captivité lui aussi tout comme Shäêlis et ce jeune Tauren qu’il avait vu dans sa vision… Sa il le saurait dans un instant…
Orick pénétrait dans l’antre et vit avec stupéfaction qu’il n’y avait rien ! Du moins rien d’autre que les corps de nagas atrocement mutilé. Orick décida d’inspecter la caverne pour voir si il y avait des traces de Shäêlis mais il ne trouva rien d’autre que deux cages ouvertes, certainement celle ou Shäêlis et le Tauren était retenu. Il se dirigea donc vers la sortie de la grotte avec déception, quand, soudain, il entendu un bruit, non pas un bruit un gémissement, oui le gémissement d’un être agonisant, il se retourna alors et vit un nagas tordu dans une drôle de position cracher du sang essayant de ramasser un trident, la bête fixé Orick avec de yeux vitreux.
-Nagas, Tu es mon seul espoir. dit Orick en accourant vers la créature mortellement blessé

Pas mal!

il a intérêt à parler cet enculé de Nagas! >< J'ai envie de savoir ou elle est! x)

lol

-Je ne…Kuf kuf… vous direz rien Nain ! J’emporterais mes…Kuf… secret dans ma tombe.
Sur ses mots le nagas vomis une grosse flaque de sang. L’heure était grave, le Nagas allait mourir et avec lui le maigre espoir de retrouver Shäêlis, sans réfléchir une minute de plus Orick incanta une vague de soins rapides affin de donné quelques heures de plus à la créature.
-Oh que non mon gars, je te garanti que je te sortirais les vers du nez.
De la sueur s’écoulait sur le front du Nagas, après quelques minutes de récupération il finit par prononcer ces quelques mots.
-Nain, mon heure est proche…kuff, kuff… je sais que tu es venu chercher l’elfe… mais …kuff… La bête eue une convulsion puis poursuivit
- Ton amie… kuff… je ne te dirais les informations que tu veux savoir… kuff… que si tu abrège mes souffrances… kuff.
Il vomi une nouvelle flaque de sang. Orick était à genoux devant l’homme-poisson et lui soutenait la tête pour éviter que la créature ne s’étouffe dans son mélange de vomi et de sang. Il le regarda droit dans les yeux et dit d’une voie ferme mais douce.
-Je te le promets, sur l’honneur, ta vie serra sauve et tu pourras repartir ou bon te semble.
Il lui lança une nouvelle vague de soins.
- À présent, raconte-moi, dit moi qui a bien pu profaner ton antre Nagas. Je t’écoute.
Des larmes s’écoulèrent des yeux du Nagas, il restait la, le regard vide, comme si il essayer de se remémoré les événements passés. C’est alors qu’il dit.
-Les mort-vivant… des dizaines, que dit-je des centaines de goules…
-Des mort-vivant ?! Ici ? Comment cela se peu-t’il ?
-Je n’en sais rien, les elfes les aurait vue normalement, mais ils n’en on pas eu vent.
Il marqua une courte pause avant de poursuivre.
-Ils étaient accompagné d’un chevalier de la mort, ils on tuer beaucoup des mien mais en on aussi capturé une grosse moitié… Ils on également prit nos prisonniers, l’Elfe… et le Tauren. Je m’en suis sortit en restant cacher sous les corps de mes frères et sœurs, Il savait que j’étais la, comme tous ceux de leurs espèces ils entendent les cœurs battre a des dizaines de mètres a la ronde, seulement il on décider…kuff… de me laisser agoniser…
Orick restait stupéfait que des mort-vivants aient pu s’introduire dans le royaume des Elfes sans être détecter, cela ne pouvait signifier que deux choses. Soit la puissance du Fléau augmenter et ils chercher à accroitre encore plus leurs puissances en ayant des recrues fraîches affines de marcher pour un nouvel assaut. Soit au contraire leur puissance diminuer grandement et ils avaient décidé par tous les moyens de récupérer du sang neuf pour supporter les assauts incessant de la Horde de l’Alliance, de la Lame d'Ébène, de la croisade d'argent ainsi que ceux la croisade écarlate en Northendre contre le trône de glace.
-Continu Nagas, ne t’arrête surtout pas, ou on t’il amener Shäêlis ? Répond !
-Il me semble… que le chevalier de la mort a dit qu’ils repartaient pour Naxxanar…

SUIIIIIIIITE!!!!!!!!! NEED!!!!!!!!!!!!! :bave: